Perversion Narcissique
Les victimes de pervers narcissiques ont en général besoin de l'aide :
d'un avocat
d'un psychologue
Ne restez pas seul-e




!! LA PERVERSION NARCISSIQUE EST UN PROCESSUS DE DESTRUCTION !!


AVERTISSEMENT
La perversion narcissique est un processus de survie consécutif d'un traumatisme ayant altéré l’image de soi du sujet. Initié de manière inconsciente, ce processus d'origine émotionnel impose ensuite sa logique à la conscience, en faisant passer l’émotion traumatique pour un signal vital. L’intellect se trouve ainsi mobilisé non plus pour analyser la réalité, mais pour répondre au besoin intérieur, justifier la perception d’un danger fictif et renforcer sa défense.
Fonction émotionnelle : les affects issus du traumatisme (peur, honte, insécurité) surgissent avec une intensité telle qu’ils prennent valeur d’alerte absolue, imposant leur vérité au vécu conscient.
Fonction intellectuelle : la vague émotionnelle inconsciente vient embarquer l’intellect à sa cause. L’individu se sent alors obligé, de manière consciente, de mettre son intelligence au service de ses ressentis, comme si la menace était réelle. Loin d’un calcul initial pour nuire, c’est cette transposition qui asservit la pensée rationnelle et transforme progressivement la défense en stratégie relationnelle destructrice.
Fonction relationnelle : l’autre n’est plus perçu comme sujet mais comme objet au service de l’équilibre interne. Il peut être idéalisé, utilisé ou au contraire accusé et dévalorisé, selon les besoins de protection du moment.
Fonction défensive : des mécanismes psychiques spécifiques se déploient — le déni pour refuser la faille, la projection pour attribuer au dehors ce qui est insupportable en soi, et le clivage pour séparer rigoureusement le « bon » du « mauvais ».
Fonction narcissique : au centre du processus, il y a la nécessité de préserver une image de soi cohérente et valorisée. L’autre est instrumentalisé tantôt comme miroir rassurant, tantôt comme réceptacle des parts rejetées, ce qui maintient une dépendance relationnelle profonde.
Ainsi, la perversion narcissique ne relève pas, à l’origine, d’une volonté consciente de nuire, mais d’une lutte identitaire où l’émotion traumatique gouverne la pensée et entraîne l’intellect à son service. C’est cette dynamique de transposition — de l’inconscient vers le conscient — qui fonde l’asservissement intellectuel et ouvre la voie à des comportements manipulateurs et destructeurs. Cependant, la confrontation inévitable avec l’opposition extérieure attise sa haine, laquelle décuple ses forces et transforme la défense en attaque. Ce qui naît comme un mécanisme de survie se mue alors en stratégie offensive, où l’autre devient l’ennemi à abattre pour préserver l’intégrité fragile du moi.
La perversion Narcissique
Un processus de survie qui se mue en un processus de destruction de l'autre


En bref


Documentation


































Perversion Narcissique
La perversion narcissique : Un mécanisme de survie !
La nature de la perversion narcissique est souvent très mal comprise.
Cette incompréhension n'est pas favorable à la lutte des victimes contre leur bourreaux car cela engage de leur part un mauvais cheminement de réactions qui accentue leur détresse.
En effet, rester sur la compréhension qu'il s'agit d'un conflit où la victime est victime d'une volonté de lui nuire à titre personnel est erronées. Cette erreur est très courante et fait vivre aux victimes un surplus de phénomènes psychologiques qui pèse que plus dans sa balances psycho-émotionnelle, et est un frein de plus à l'efficience de sa lutte.
L'erreur va engager la victime, dans des dépenses psychologiques qui mis bout-à-bout participent à son épuisement et à sa défaites voir a son anéantissement. La victime est d'abord prise dans un leurre sociale où le pervers bénéficie de l'entendement général que tout le monde est susceptible d'être honnête et mérite d'être écouté. Elle n'a pas de recule sur la nature intrinsèque de cette relation car elle l'assimile dans le même paradigme relationnel courant et ordinaire. A ce niveau elle est déjà victime de sa propre honnêteté intellectuelle qu'elle porte en elle et qu'elle met au service du pervers.
Elle va donc traiter les reproches du pervers comme revêtant une possible légitimité. Ce qui va l'engager à se questionner sur elle-même, à se justifier, à contre-argumenter... a dépenser son énergie dans une discussion interminable alors qu'elle est biaisée dès le départ. Le pervers ne reconnaitra rien de ses fautes (peut être quelque futilités pour donné une impression de souplesse) mais sur le fond son but est déjà fixé : sortir gagnant de toutes discussion qui est en réalité l'avant garde de son arsenal de guerre psychologique.
La discussion est ainsi complètement factice car elle n'a pas les caractéristiques d'honeteté qu'elle nécessite pour être valable. Le pervers ne cherche pas l'édiction de la vérité, mais à imposer sa représentation de la réalité qui le valorise. En cela la discussion lui est utile. Et il tâchera de la préserver tant qu'elle peut lui être utile pour continuer à épuiser la victime. S'il voit qu'il pert pied dans l'argumentaire, il se défendra quitte à mentir avec un aplomb déconcertant jusqu'à l'utilisation d'arguments grotesques. La relation et la discussion lui étant devenu difficile et nuisible il les détruira par des attaques ad hominem, mettant en cause l'honeteté de la victime.
L'identité de la victime n'est pas en cause, elle est la victime que parce qu'elle se trouvait sur le chemin du pervers. Toutes les relations du pervers sont des relations qu'il vit comme des rivalités cachées et qui, au fur du temps, émergent à la connaissance des intéressés.
Ce libérer de cette charge est déjà un allégement considérable.
Ensuite si l'on accède au fait que le pervers n'est l'objet que d'un processus de survie qu'il doit suivre, on se rend-compte dans quel asservissement il se trouve. La perversion narcissique est un processus de survie en marche... qui peut tout détruire sur son passage. La victime n'est victime que d'un processus... comme on peut l'être d'un cyclone. A partir de là, la victime peut trouver une autre voie qu'un chemin de haine. C'est une deuxième libération car la haine de la victime contre son bourreau va consumer la victime que davantage. Se libérer de cela s'est un pas de plus vers la libération.
Perversion Narcissique
Aide aux victimes
Documentation


SITE EN CONSTRUCTION




